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Un ensemble spécifique de rituels est observé par la religion musulmane afin d’enterrer ses membres décédés. La culture comporte des éléments qui doivent être fidèlement observés. Ces éléments s’expriment, entre autres, lors des condoléances, de l’inhumation, du lavage rituel et de tous les processus funéraires. Ils concernent le respect des chiffres, des expressions, de la nécromancie, de la cosmogonie, du genre, et de la solidarité.
Tout au long de la mise en bière
Le corps du défunt doit être soigneusement basculé sur le flanc droit pendant la mise en bière. Si l’inhumation a lieu à Paris, c’est le visage et non le corps qui doit être orienté vers la Mecque. En cas de doute sur l’exactitude des chiffres et de la cosmogonie, il est préférable de s’adresser immédiatement aux prestations des pompes funèbres musulmanes 77. Les services qualifiés de ces agences conservent strictement les cultures sacrées musulmanes et vous fournissent toutes les références précises dont vous avez besoin.
Quatre hommes embarquent la civière qui porte le défunt allongé et transportent le corps de la maison à la tombe.Suivant les conseils de conservateur des us, la tête est en priorité pour sortir le corps du défunt de la maison . Toute personne qui voit le cortège funèbre est tenue de le rejoindre et de l’accompagner jusqu’au cimetière.
Pendant la cérémonie de lavage du corps
Trois jours après son décès, les intervenants l’ont cérémonieusement enveloppé dans des vêtements blancs pour le préparer à l’inhumation. La procédure comprend un nombre important de lavages et un certain nombre d’étapes qui précisent quelles parties du corps sont lavées en premier et dans quel ordre. La majorité des services funéraires musulmans interdisent l’exposition permanente du corps et adhèrent strictement à cette coutume de nécromancie.
Durant les funérailles traditionnelles à la mosquée
Les funérailles musulmanes sont un rituel formel et traditionnel qui se déroule souvent dans une mosquée et obéit à un ensemble de coutumes qui doivent être respectées. L’Agence des pompes funèbres musulmanes 77 propose un service de planification du cortège funèbre dans le respect des principes d’espace et de genre. Après avoir laissé leurs chaussures à la porte, les hommes et les femmes se répartissent dans des zones distinctes. Les femmes doivent s’habiller modestement et généreusement ; elle se couvre notamment la tête d’un voile. Les amis et la famille éplorée forment une file devant le cercueil pour se recueillir. Les personnes présentes sont encouragées à s’habiller de manière formelle et à s’abstenir de porter tout symbole religieux ou rituel répréhensible.
Lors de la présentation de condoléances
Dans la tradition musulmane, la famille éplorée est encouragée à faire preuve d’une grande bravoure et de persévérance face à une perte tragique. Les expériences des pompes funèbres musulmanes dans le 77e sont très qualifiées pour vous conseiller sur le type et la quantité de condoléances appropriées. Ces expressions idiomatiques utilisent un langage rassurant et optimiste qui indique clairement que toute personne vivant dans ce monde finira par mourir. Vous pouvez exprimer vos condoléances aux membres de la famille d’un musulman décédé avant ou après la cérémonie funéraire. Il est toutefois préférable de le faire dans les trois jours qui suivent le décès. Où que vous soyez – à la mosquée, au domicile de la famille ou au cimetière – vous pouvez manifester votre soutien. Pour que la famille n’ait pas à se préoccuper des petits détails, les membres de la famille et les amis leur donnent de la nourriture.
Au cours de l’exécution du Salat-el-Janazah
Dans un esprit de modération et de sobriété, le clergé musulman demande aux personnes dévouées d’accomplir une prière rapide, connue sous le nom de Salat-el-Jalah. Il s’agit d’un rassemblement dans une mosquée où il n’y a que des hommes. Le cercueil est disposé aux bons soins des pompes funèbres musulmanes dans le 77e face à la Kaaba. Les gens s’alignent sur trois rangées ou plus en retrait de l’imam.
Chaque homme adulte présent ou associé à la famille proche du défunt est tenu d’accomplir cette prière, appelée « Salat-el-Janazah ». Le véritable objectif est d’implorer le pardon de la personne décédée et de l’humanité. Contrairement aux pratiques habituelles, celle-ci n’implique aucune contemplation. L’imam de la mosquée conduit les fidèles dans un rassemblement à l’abri des regards.
L’agence de pompes funèbres musulmanes travaille dans le strict respect de l’étiquette et de la sainteté exigée par la religion musulmane et vous assiste dans cette tradition sacrée. Aucune inhumation n’est possible si cette prière n’est pas effectuée.
Au moment de l’inhumation dans un carré musulman
Si le défunt n’a pas signé de contrat d’obsèques, les familles sont tenues de s’occuper de l’organisation des funérailles dans un carré musulman. Elles doivent se faire assister par les services et le savoir-faire de pompes funèbres musulmanes pour cette activité. L’inhumation dans un carré musulman se passe dans une partie du cimetière réservée aux musulmans. La tombe est marquée par une pierre pointue semblable à la flèche d’une mosquée et comporte un verset du Coran.
Pendant la durée du deuil
Le deuil révèle plusieurs caractéristiques culturelles uniques chez les musulmans. Elles sont axées sur la vénération du spiritisme. Elles autorisent des périodes de tristesse prolongées afin de permettre à la famille endeuillée de s’adapter à sa souffrance. Les prestataires des pompes funèbres musulmanes dans le 77e n’auront aucun mal à répondre aux besoins de la famille.
Cette veille de deuil dure trois jours et exige le respect strict de certaines règles spécifiques. Si les pleurs sont permis, il est déconseillé de pratiquer des activités ludiques, de se parfumer ou de porter des bijoux.
Il est permis de se rendre au cimetière pour témoigner un hommage au défunt, mais ces visites doivent rester privées. Les troisième et quatrième jours du deuil accompagnés par les services de pompes funèbres sont réservés à la prière. Tout au long des 42 jours qui viennent après les obsèques, la famille se rend fréquemment au cimetière. Le quarante-quatrième jour, un grand repas communautaire est servi pour marquer officiellement la fin de la période de deuil.
